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vendredi 26 novembre 2010

formspring.me

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lundi 16 août 2010

Porter le chapeau et Prendre le blâme

Rebonjour à tous autant que vous êtes, mes 3 fidèles lecteurs! yay!

Mon moi se penche aujourd'hui, sans motivation particulière, sur un sujet de société, passif, mais important. Je critique souvent la façon dont les gens voient les choses, et passe alors pour quelqu'un qui ne crois qu'en son opinion. Ce n'est qu'en partie vrai; Certes, je crois en ce que je dis et le défends, mais Si j'ai un opinion, il n'est pas sortit de nul part, et j'ai donc, indubitablement, changer d'opinion à un moment donné ou à un autre sur un sujet, qu'importe soit-il. Mais ici n'est pas la question. Ce que je blame (référence subtile au titre ici, ohoh, que je suis accrocheur et pensée! ), c'est encore une fois, un réflexe humain acquis. Ou innée. Qu'importe, avec de la pratique, ça se travaille! J'articule de mes doigt ici, la notion de "trouver (et souvent pour punir)le (voir seulement "un")coupable.

En effet, quel est l'utilité de battre celui qui, volontairement ou pas, s'est mis les pieds dans les plats, si rien n'est mis en oeuvre pour empêcher que la même chose se reproduise? Ça semble logique, Mais pourtant! Commencez par regarder notre gouvernement (parce que c'en est drôle), par la suite, regardez autour de vous. La première question, après l'acte dérangeant, est toujours " Qui a fait ça? " . Les hauts cerveaux de notre notre belle société (trop hauts pour avoir de l'air, à mon très humble avis), en recherche de se prouver à eux-même qu'ils sont un exemple d'acceptation et d'amour, pose un variante au problème; Pourquoi?

Mais, a beau chercher dans les méandres de l'esprit criminel, Mais dans quel but? Prouver que, au final, personne n'est coupable, mais tous avons créé ce qui, inévitablement, devint un geste inacceptable? ... Bien. Bien. Mais une fois que l'on obtient cette donnée... On fait quoi? On se la répète!!! ... Vous trouvez ça idiot? ... C'est pourtant ainsi. Vive la démocratie.
À notez que, je n'ai rien contre l'expression du peuple et de ses sentiments. Seulement, Est-ce, encore une fois, la mentalité du peuple, et de ses individus, ou est-ce les individus qui, sous je joug cruel des Masse-médias prennent leurs opinions comme un chandail prêt-à-porter?

À quoi sert-il de savoir, Qui, pourquoi et comment, si jamais on ne cherche à stopper l'infamie!? La première question, la seul, et la vrai, que l'on doit prendre comme habitude, si l'évolution nous concerne, c'est " Comment faire pour que cela ne se produise plus?" La logique veut que, près d'un ravin, il y ait des clôtures. Mais de nombreuses chutes furent nécessaire pour qu'il en soit ainsi! Alors, sauvons-nous chacun 100 ans, et, lorsque mal est fait, demandons, d'abord et avant tous; "Comment faire pour qu'il s'agisse de la dernière fois?" , et penchons sur des solutions, plutôt que de laisser le problème, au profit de celui qui le cause. Et s'il arrive que, en certaines mesures, le causeur soit la solution, il en découlera, frappante de logique, la marche à suivre à ce moment.

Non?

mercredi 4 août 2010

Why do I take Baths, instead of shower?

Étrangement, le titre exprime exactement l'idée qui s'en vient. L'eau coule présentement, dans la salle de bain, à côté de ma chambre. Et je l'entend très bien. ... Bon, je m'explique ou je m'en vais la...

Au moment de tourner la chapelure (dure à trouver comme orthographe), Il me revient en tête une conversation de longue date, a savoir, pourquoi prendre un bain? Mon ami ne comprenant pas l'utilité de la chose, j'ai essayer de m'expliquer... sans résultat. Hors donc, aujourd'hui, quelques années plus tard, je m'explique.

D'abord, passant toutes les explications logiques, je dirais que, tout est une question de temps. Prendre un bain prend considérablement plus de temps qu'une douche. Mais même si oui, il est possible de rester plus longtemps sous l'eau chaude d'une douche qu'un petit 5 minutes, le bain a cette particularité que, tant que l'eau est chaude, le temps de fige. je crois que c'est une notion de contrôle, sur ma vie, et sur ce que j'en fait. J'ai besoin de me laver, j'ai choisi luxe de prendre bain.

Ensuite, je crois que c'est à cause de l'immersion. Qui n'aime pas patauger? Mais être immerger sous l'eau, avec comme seul son, le battement de son coeur, ça remet les pendules à l'heure. Prendre une seul minutes à s'écouter vivre, équivaut à nombres de confessions. Je fait souvent notion de "chercher à mal vivre, pour pouvoir se plaindre", et je crois que cette notion de prise de conscience envers soi est un moyen de réaliser que, " Je suis dans tel état, je pourrait être mieux si je modifiait ceci, et je suis chanceux d'en être capable". Tant au niveau physique que mentale.

Puis, avec tout ça, vient une notion de Méditation. T'ention, je m'en viens zen. Comment réfléchir sous la douche, alors que l'occupation première est de se laver? faisable, mais pas idéal. Sans mettre des petites bougies, faire jouer du Enya ou de la flute de pan (mais si bon vous semble, allez!), je crois que le simple fait de se décider à attendre que le bin coule, nous force à réfléchir un peu. L'eau chaude ayant déjà son effet relaxant, c'est simplement idéal pour, non réfléchir, mais méditer, un peu. juste un brin. Juste assez pour vider sa soupape d'agressivité, de remord, et d'envie. Un bon moyen pour remettre les compteurs à zéro, et se permettre de, peut être pas aimer, son prochain, mais l'endurer un peu plus.

Je sais pas si tout le monde va comprendre mon article, pour ce qu'il est, et ce qu'il soutient. Je suis peu être trop personnel pour que la métaphore se voit. Mais bon, L'eau est prête.

dimanche 1 août 2010

Été et Être

Bonjour à Tous!!!

C'est l'été (oui bon bin, vous aviez remarqué) et je me décide enfin a publier autre chose. C'est loin du " un article par semaine" Mon affaire... Toujours est-il que cette fois, j'ai que très peu de réflexion à apporter. Ptête que je suis heureux. Ptête que c'est le beau temps, ptête un peu des deux. ... Ou ptête pas. Ça m'arrive d'être de bonne humeur moi aussi, oui oui! J'ai le droit même si je suis hostile!

La seul chose qui m'irrite aujourd'hui: Bordel que j'aimerais ne pas demeurer chez des personnes du troisième age, avancement quatre. C'est démoralisant. Mais qu'importe!!

Je fais court et termine en vous donnant quelques suggestions de Lecture pour cette été, même si j'ai moi-même, trop peu lu.

THE SANDMAN - Neil Gaiman

Le protagoniste n'est nul autre que Morpheus, the Sandman, soit le marchand de sable, dans notre belle français. Dans sa petite famille (Les Endless), il représente et incarne les rêves (et est aussi appelé Dream). Les contes et récit qui l'entour sont, même s'il ne s'agit pas de l'histoire la plus poussée et plus profonde, même parfois le contraire, sont agréable à lire, reposant et carrément envoutant. Lire cette bande dessinée, c'est comme écouté passe-partout quand on a 6 ans: On ne peu tout simplement pas décroché. À la différence de Passe-Partout, c'est pas pornographique.

Biologie de l'homosexualité - Jacques Balthazart

Détrompez-vous... c'est VRAIMENT un biologie. L'homme (hétéro), scientifique (hétéro) qui a écrit se livre (il couche avec des FEMMES la), s'outrait de voir combien la portion GÉNÉTIQUE de l'humain était laissé de côté dans nos société voisine européenne,... et par conséquent la notre, lorsqu'il est question de comportement humain. Aussi, il Écrit ce livre que je lis en ce moment, pour remettre les chose en balance. Très intéressant, quoique écrit étrangement; comme une biologie qu'on aurait vulgarisée... mais par bout.

Foop! - Chris Genoa

Roman fantastique, s'il en est un, et incroyablement ... incroyable. La critique de la couverture: " A surreal pie in the face" Et c'est exactement ce que c'est!!! Le contenue ET le contenant sont n'importe quoi! Juste assez pour ne pas décrocher, encore asse pour relire 6 fois la même page et rire à chaque fois. Un Must!

Je termine vraiment, et rappelle aux intéressés que, dans mon coin (Matane), J'organise un nouveau GN (grandeur nature ... un jeu de rôle la...) les 10-11-12 septembre, à St-Luc. Pour plus d'info:

mardi 29 juin 2010

Auto-pardon et Jugement Automatique

Avez-vous déjà eu l'impression d'être trop dur avec vous-même? Si oui, vous ne l'êtes surement pas encore assez à se moment là. Mais le reste du temps, c'est probablement vrai.

Voyez-vous, il n'est pas difficile de voir, quand on prend vraiment le temps de VOIR (et quand on veux vraiment voir...), à quel point on s'en fait pour rien.
À commencer par les médias, et tous ce qui nous est inutiles de savoir? Pourquoi m'en faire pour un bébé mort au Nicaragua, alors que le centre de retraité (politiquement correcte pour Trou a vieux) croupis de personnes, vielles, oui, mais vivantes et qui souffrent, mentalement ET physiquement. Non, je ne suis pas devenu plus sensible. C'est juste logique, me semble, de s'occuper de son monde avant ... Mais bon! Je m'éloigne, encore...

Hors donc, Il ne faut jamais sous-estimer la capacité d'auto-punition d'un humain. L'envie irrépressible de de vouloir se mutiler. Se faire du mal. Chez certain c'est plus poussé, mais c'est valide pour tout le monde. Je ne crois pas, cependant, que se soit une mauvaise chose, dans la mesure ça prend place de morale, et nous permet de rester droit dans ses principes. Là ou ça dérange, c'est justement si ça devient un problème à son évolution. Et c'est souvent le cas. Très. Et exactement LÀ, commencerait à me critiquer ceux qui ne m'apprécie que peu, disons. Pour me penser supérieur, pour me prendre pour le maitre du monde, ou une quelconque autre accusation. Et cela (regardez moi bin) m'emmène à ma deuxième partie de mon sujet; l'auto-culpabilisation, par les autres (wow, m'as tu vu le lien toi!).

Un Notion est simple. Les gens sont des moutons. Ne pas penser pareil, c'est courir après le trouble. Ne pas faire pareil, c'est pratiquement servir de cible à la lapidation. Le dire à haute-voix, ... c'est déclaré la guerre à l'humanité armée d'une chainsaw. Lorsque l'on décide de se pardonner. Vaut mieux s'attendre à être le seul à le faire. Pourquoi? Je ne sais pas. Jalousie peut-être? Envie? Qui sait!
Toujours est-il qu'il ne faut pas confondre se pardonner, et je-m'en-foutisme.

Il est bon parfois de s'arrêter et de regarder le ciel. Un jour, chacun à sa façon, on réalise que, quoique que l'on fasse, notre existence ne changera pas le monde, du moins, pas dans notre quotidien. Regrets, remords, peines et malheurs sont des choses que l'on traine pour soi-même, et qui ne seront éprouvées QUE par soi-même. Chacun fait des erreurs, et le futurs ne sera pas plus clément si l'on pleurs sur celles du passé. Je ne dis pas d'oublier, mais de faire la paix avec. D'avancer. De grandir. Ainsi donc, quand on réussi à faire ça, avec tout l'effort que ça implique, il faut encore passer par les regards, les remarques, et les coups. Une bonne occasion de ne plus recommencer pour uns, et même de reculer pour l'autre. Triste, mais vrai. Auto-châtiment.

Est-ce si "punissable" de se pardonner?

samedi 5 juin 2010

Golden et Doberman

Parfois, il m'arrive de me demander; "Qu'est-ce que je veux dans la vie?" Et le plus drôle, c'est que je connais la réponse! : "J'en ai aucune mausus d'idée!!!"

Et je crois que c'est bien. Mais parfois, il m'arrive aussi de me dire que j'aimerais peut-être une petite vie tranquille ... Une maison, avec une petite famille. Un chien (golden, ou doberman, de préférence), trois ou quatre chats... Un petit Jardin. Misérable par mon incompétence à m'occuper convenablement d'un plante verte. Mais qui donnerais quand même, à force d'amour et d'engrais chimiques, des légumes. Peut-être des fleurs. Qui sait! Avec des arbres, une grande cours, ... et des enfants. Oui, des ptites bêtes de début d'humanité.Les miennes.
Et quand je pense à ça, je devient morose. J'me sens légèrement abattus. De savoir que les chances que cette jolie vison, qui, pour la majorité vient s'installer d'elle même (souvent sans prévenir) se réalise, sont pratiquement nulles. De savoir que, même en menant une vie normale, ce point tournant pour la plupart des existence, est un grand détour pour la mienne. De penser que, surement jamais, un jour, j'aurai à lire, cuisiner, bricoler, jouer, avec et pour ma famille.

Et puis ensuite je réalise quelque chose. Je réalise que, Froidement parlant, à jeun, et bien réveillé, Je ne désire rien de tous ça. Du moins, pas pour l'instant. Je veux dire, maintenant, je ne le désire pas, ni pour bientôt, ni pour plus tard.
Je réalise aussi que, autant peux me réconforter cette image de famille, autant elle éveille en moi un sentiment de déplacement. Comme un torsion de l'espace. l'impression de ne pas être à ma place. Qui sait quand le temps viendra... ou pas.
Non pas que je renie le tous, ou que je le prend en dégout, loin de là. Je n'aime pas les familles modèles, et Dieu (ou qu'importe qui) seul sait que la mienne ne le serait pas. Je ne doute aucunement de mes aptitudes à être parent. Nullement. Mais je crois que je rendrai plus grand service à l'humanité, en étant qui je suis, par moi même, et en aidant ceux qui veulent en faire autant, à être eux. Tout comme une femme sur la diète, une pointe de pizza ne me fera pas de mal. Je ne m'exclus pas de tout l'imagerie familiale, et je ne ferai pas un archétype du type anti-stéréotype de moi même ( Ie, Brian Kenny, pour ceux qui connaissent QaF). Mais (tout comme cette même femme à la diète) je sais qu'il est meilleur pour moi de ne pas en abuser.

Ça m'attriste de voir, et croyez-moi, j'en ai vu, des gens (jeunes et moins jeunes) refouler leur désires, leurs rêves, parfois leur propre personnalité, parce qu'ils VEULENT, en arriver à ce point. Société maudite. Je comprend que, un jour, ça passe de l'abstrait à l'inévitable. Mais quand on monte sa vie en se sens... Est-ce l'on vit?

Répondez,et prenez le temps d'y penser, à ces quelques réflexions;
D'abord, suis-je le seul à ne pas idéalisé la famille? Et pourquoi?

Ensuite, Avez-vous déjà pensé à : " Je veux des enfants plus tard.", et savez-vous seulement pourquoi? Et si vous ne trouvez rien d'autre que : "Je le sais, c'est tout." ... Je réfléchirais un peu... Pour le bien-être des futurs bambins.

Pourquoi est-ce si prisé d'avoir cette illusion comme vie?

Je lève mon chapeau et quitte, l'esprit confus. Éclairez-moi, mais mes questions sont profondes, et lourdes. Attention aux réflexions légères.

dimanche 9 mai 2010

Figthing, and still more fighting.

Image d'une artiste fantastique --> Michelle Ramey Deviantart's

Vous savez, Je passe près de bien des conflits, au travers d'autres, et j'en cause plusieurs aussi, mais je me suis demandé aujourd'hui, une question banale, rien qu'un hop dans ma tête, qu'est-ce que ça prend, pour se battre?

On le vois partout, dans des séries télé, dans nos films, au cinéma comme à la maison. On le lit, dans nos romans, dans les revues, même dans les BDs! Des chicanes, ça existe! Et on ne peut que faire avec. Mais dans la vrai vie, contrairement au reste, ça s'arrête souvent là.

Elles sont rares les fois ou, au travers d'un " fight ", entre amoureux, ou entre amis, dans sa famille même, on s'en remet complètement. Ça vous arrive souvent vous, des moments ou, avec la (ou les) personne avec qui vous avez un différent, vous vous dîtes tous les deux dans le blanc des yeux ; "Je suis désolé d'être tellement un trou du cul, - slashbarre - une crisse de bitch" . Je pari que non.

Alors j'en reviens à ma question, ça prend quoi pour en arriver là? Pas à la chicane, non, ça, je l'savions que trop bien, mais pour en arriver au terme? Épargnez-moi les speech de psycho, ça vaut rien, preuve à l'appuie.

Mais par dessus tout, Ma question n'est pas de savoir ce que ça prend pour en arriver a une fin heureuse, Mais pour en arriver au processus qui engendre cette fin la! Ou est-ce que l'on acquiert le guts d'y arriver? Parce que moi, plus le temps avance, et plus je me résous à abandonner l'idée que, un jour, quelqu'un va s'assoir, m'envoyer chier du fond de son coeur, et me dire que tout est correct.
Est-ce l'expérience qui donne cet possibilité? Parce que j'ai vu des gens traverser des histoires aussi folles que les miennes, mais qui ne semble pas en retirer autres chose que des leçons superficiels. J'ai mes idées là dessus, mais j'y reviendrai un autres fois.
Donc, en résumé, d'où viens la force de se battre pour ce que l'on croit, pour ceux que l'on aime? Et comment fait-on pour l'obtenir? Est-ce l'adage de la nouvelle génération? Toujours se tourner du côter le plus joli? Est-moi qui, entre deux génération, ne "fit" juste pas? J'ai aujourd'hui vingt ans, et je me trouve trop vieux. ... J'ai grandi quand ?

mardi 20 avril 2010

Roman d'Amour et Solo de Jazz

Bonjour à tous!

Hin?, Ça commences-tu bin yinque un peu ça?

J'aurais voulu parler d'autre chose que d'amour, mais, récemment, quelqu'un m'a dit : " On dirait que tu penses juste à ça. " ou quelque chose dans le genre. Et c'est vrai. Il faut être honnête avec soi même: c'est impossible de ne pas y penser. Il peux arriver une période on l'on aime être seul, une période ou l'on priorise autres chemins de sa vie, mais ne pas penser à l'amour? HA! Je ris.

Il s'agit d'une quête millénaire, un but de l'existence humaine depuis toujours, comment ne pas faire avec?

Alors moi j'ai décidé, un jour, de vivre avec mes cartes sur la tables. Les jeux de Bluff ne m'intéresse plus. Hors, en arrivant ici, j'ai peu à peu repris en main mon jeu,... Et maintenant que je m'en rend compte, je le repose, dégouté. Je suis une personne romanesque, beaucoup trop, sans doutes, mais je l'assume. Ma vie est un conte, une série, un jeux, un roman. Les évènements, bien entendus, n'ont jamais la belle tournure de destin qui ranime la flamme d'un lecteur. Mais je ne m'en plains pas; j'aime les défis.

Aussi, je m'excuse pour ceux qui sont entrainés dans mes élans. Mais je ne crois pas que cela soit négatif.

Il vient un moment, ou lorsque l'on tourne dos à sa vie, celle-ci se fâche, et s'en vas sans nous. Et sans même s'en rendre compte, notre univers a changé: Il nous juge, il nous déteste, il nous renie. C'est le danger du bluff. Si on reviens après avoir été que des plus honnête, le monde se montre toujours sous son vrai jour. Ce que l'on perd reste minime face à ce qui reste. Dans le cas contraire, on perd souvent le meilleur...

Je crois qu'il y a, comme partout, une zone de confort et de sécurité, qu'il faut nécessairement quitter pour vivre un jour. Le plus dure n'est pas de quitté le lit familial, ni de partir de sa ville, ça, je l'ai appris. Mais c'est d'accepter qui l'on est, et de garder la tête haute, même dans les moments dures. Si le lien avec l'amour ne vous dis plus rien, relisez bien ...
Je suis prêts a vivre plein d'expériences dans ma vie, en autant que celles-ci ne damage pas mon corps et mon esprit. Mais c'est du donnant-donnant.

Aussi, je disais entrainer des gens dans mes élans. Et oui. Je ne promet rien a me côtoyer. Je ne dis pas : "Je vais toujours être gentil avec toi." Je ne dis pas : "Je suis le meilleur amis que tu auras." Je n'insinue jamais " Ça va toujours être plaisant avec moi." . Mais la vie est une aventure, et si quelqu'un embarque avec moi une fois, il est trop tard. La seul chose que je promet, c'est à moi même : "Je reste qui je suis" . Et ça vient avec son lots de conséquences. Peut-être pas au mieux pour mes proches, mais jamais à leurs dépends.

Si je pose la question, Préférez-vous un ami honnête mais difficile a vivre, le meilleur ami du monde? Je doutes de la sincérité de la réponse...



Image d'une artiste fantastique --> Michelle Ramey Deviantart's

lundi 12 avril 2010

Grèce ancienne... Et leçons toujours pas appris.


C'est pas grand chose, Juste de la Philo!

Vous savez, ce truc que plein déteste au cégep... Parce que ça les force a réfléchir, plutôt qu'a accepter l'idée reçu.

Bon y'a quand même du bon.

Socrate, vous savez qui c'est? Peu importe...

Un jour, un homme aborde Socrate et lui dit :



- Ecoute, Socrate : tu dois absolument savoir ce qu'a fait ton ami ...

- Attends. As-tu passé ce que tu vas me dire au travers des trois filtres ?

- Trois filtres ???

- Oui. Le premier est le filtre de la Vérité. As-tu contrôlé toi-même si ce que tu veux me dire est vrai ?

- Euh, non. On me l'a raconté, mais...

- Bien, bien. Mais peut-être as-tu utilisé le deuxième filtre, qui est celui de la Bonté ? Même si ce que tu veux me raconter n'est pas certain, est-ce quelque chose de bienveillant ?

- Non, pas précisément... Au contraire !

- Hmm. Essayons le troisième filtre. Celui de l'Utilité. Est-il utile de me raconter ce que tu as envie de me dire ?

- Utile ?? Non... pas vraiment.

- Eh bien, conclut en souriant le philosophe, si ce que tu veux me raconter n'est ni vrai, ni bon, ni utile, je préfère l'ignorer, et je te conseille de l'oublier.


...

vendredi 9 avril 2010

Courseur et promeneur du dimanche


Bonjour à tous!

Énergiquement, je commence cette journée plutôt grise de façon plutôt tranquille. Bien. Un bol de céréale, un bain qui coule, et des cheveux tout croche comme si j'avais grimper la côte st-joseph sua tête. Chouette. Le sujet dont je voudrais m'entretenir aujourd'hui, je le sais, ne fait pas l'unanimité. À la différence des autres, celui là, les gens ont peu de réaction, ou, s'ils en ont, sont rarement adepte de leur propre dire en situation propre. De quoi je parle? Je parle d'amour! Encore.

D'amour, ou, plus exactement, de lui laisser une place. Je ne crois pas en l'amour comme dans les contes de fées, ou du moins, je ne l'espère plus. Je crois que l'amour est un sentiment qui subit lui aussi les variations de l'environnement auquel il est soumis. "Ont ne peut pas forcer l'amour! " Dirons certains. Et moi je dit : Rien n'est plus faux. Répéter sans cesse à quelqu'un "T'es amoureux." comme "C'est p'tête pas le grand amour." apporte un marque notoire. Aussi, à-t-on souvent vu des couples se gaspiller, parce que la "raison" s'en est mêler. Mais la logique est-elle vraiment celle des amoureux?

Bref, vous saisissez le principe. Quand je dit laisser sa place à l'amour, c'est aussi laisser la chance au coureur. On est tous en tête dans notre vie, et si on ne veut pas courser seul, il faut parfois laisser aux autres la chance de rattraper. Cela étant dit, ça ne consiste pas a ouvrir ses jambes au premierS venuS. Mais parfois, il suffit que d'un instant pour réaliser "Tient, c'est pas si t'en pire que ça". Et à partir de là, se rendre jusqu'au " Je suis heureux dans ce que je vis".

Finalement tout ce babillage est ici pour montrer quelque chose que j'ai appris, de peines et de misères, mais que je tente d'appliquer dans ma vie maintenant: Profiter de la vie, c'est aussi s'investir dans des entreprises, parfois douteuses, dans le simple but d'apprécier l'aventure, peut importe ce qu'il y aura au bout du chemin. Au travail, dans ses loisirs, Mais aussi en amour.

Je ne pose aucune question aujourd'hui, mais je vous donne un brin d'expérience. Disposez-en comme bon vous semble.

lundi 5 avril 2010

Prise de Bec, et de Conscience.


Comme vous le savez (vous les 2 qui me lisez), ce blog n'est soumis à aucune pressions externe, et ne représente que mon opinion ferme.

Prise de Bec et de Conscience... Ça sonne bien n'est-il pas? Pas pour moi. J'ai récemment rompu avec (pour ne pas dire "été dumpé par") mon copain. Pour moi, ça sonne plutôt ironique. Et j'aime ça autant que je déteste ça. Et je déteste aimer ça. Mais l'ironie est pour moi une tournure extraordinaire, qui pousse parfois la réalité au confins de l'impossible. Et ça, je ne peux m'empêcher d'aimer. Malgré tout.
On ne se méprend pas, je suis triste, mais serein. J'ai du sauter des étapes, ou les passé en Fast foward, parce que j'vais bien.

Avec tout ça, certain d'entre vous (soit une moyenne de 0 à 2 personnes ) doivent se demander : "Mais ou est l'ironie dans cette dîtes situation? " Et bien, a vous de me le dire! Puisque pas une perception ne sera pareil. Cependant, il me viens cette question (à lire avec le ton d'un infirmière curieuse ) : Jusqu'où aller? Ou et quand est-ce nécessaire de faire des efforts? J'emploie ici l'expression d'une Miss amie a moi (du moins je crois), quand on sait que l'on rame seul, combien de temps peut-on trainer le bateau?

Alors je vous pose la question, répondez-y (s'il vous plais, sans hargne!) avec cœur; Jusqu'où êtes-vous prêts à vous investir?, Sous quel Motifs, et surtout, comment?

Prise de bec et de conscience. Prise de bec parce, s'il faut en venir aux larmes et au éclats grotesques de voix,il est nécessaire parfois de s'assoir, et de parler.
Prise de conscience, parce que, il faux parfois passer de l'étape "J'ai compris" à "J'ai conscience". Pour le meilleur, ou le pire.

lundi 29 mars 2010

Maintenance et services

Bon. J'ai trois articles d'écrits, et j'ai déjà dépassé le délai que j'm'étais fixé. Pas fort mon affaire. Va falloir que j'me reprenne en main, au lieu d'utiliser cette même main pour me pogner le cul. De ce fait, je passe ce soir au Bar pour y porter mon C.V. Verra bien s'que ça donnera.

Sur un autre Note: Je sors du tournoi d'impro! Le premier de la LIM depuis belles luettes (Oui, j'ai dit luette, en référence a la prière de l'improvisateur)! Avec ses peines et désagréments, Mais aussi avec ses nombres de petites surprises plaisantes. J'impatiente déjà pour l'an prochain!

... Je chercherais quelque chose de plus à dire, mais même ajouter que mois mois gratuit de FFXI est échu n,alimenterais pas suffisamment le flot de mots, pour faire de ce ruisseau une rivière aux idées décentes.

Sur ce, je termine donc, puisque je ferme bientôt boutique (Et oui, Miss G., Je suis encore sur l'ordi à la pharmacie ), et que j'ai pas de sleeping bag pour dormir devant l'écran. Je promet que je vais tenter de me tenir plus à jour. J'ai même acheter un agenda pour ça! ...Il ne me reste qu'à le retrouver =_= ...

Bonne soirée, et bons rêves, tout spécialement se soir à toutes les vieilles madames qui radote pleine de mots en roulant beaucoup trop leurs R.

vendredi 19 mars 2010

Neko

Pour ceux qui ne sont pas au courant, j'habite chez mes grand-parents. J'ai plein de bonne raisons pour ça. Non, mes parents ne sont pas morts. Et Ma grand-mère souffre d'allergie a tout ce qui est mignon et réconfortant. Aucune analogie ici.

Ni les chats, les chiens, même les oiseaux ne pénètreront le seuil de la maison. Bordel, des comprimés de chlorhydrate de diphenhydramine antihistaminique ( Benadryl ) ça existe! Mais sachant que la raison véritable, reste le poil sur les meubles... J'y peux rien. Je m'ennuie d'avoir un chat. Boule de poil inerte, qui donne de l'affection sur demande, et te sacre patience le reste du temps. ... Un poisson fait pas la même job, disons. ceci dit...

Je suis en recherche partielle d'emploi (un second), et risque de me ramassé au Walt-mart. Pour ceux qui l'ignore, Non, la pharmacie ne fait PAS partie du dit commerce. J'risque donc de passer BEAUCOUP de mon temps ici. c'est un mal pour un bien, parce que Mon char est malade.

Ça viens de me couter un beau 237$, plus bientôt 22$, pour un mausus de TROU ( 2, coles one, in fact)! Le tuyau de renvoi d'essence de ma si performante automobile étant pourri, de la vase y a coulée, s'est immiscée dans le moteur et le réservoir. YAY! Heureusement, je manque pas de mécanos dans ma famille. Et donc, mon grand-père me sauve 400-500 grosses piastres d'ouvrage. J'en suis très reconnaissant. Cependant, Je suis tout de même sans voiture jusqu'à mardi, le temps que le tuyau en question se présente. J'ai hâte. Je suis donc en roller forcés. (: J' arriverai donc a pieds samedi soir, au Party Chic. J'ai que trop hâte. J' commence à aimer ça sortir moi, avec la gang d' impro. Prochaine fois au Chameau, peut-être? ...

Faudrait pas charrier q:

jeudi 18 mars 2010

Compassion

Je pense que j'ai été fais dans un garde-robe. Ou un char, un lit simple, un grille-pain, un tiroir, bref, whatever ou s'qui peut manqué de place pour faire ça, parce que j'ai comme l'impression que j'ai des défaut de fabrication. Défaut 1: J' craque des orteils à CHAQUE pieds, à CHAQUE freaking pas que je fais. Défaut 2: J'ai pas ça s'te morceau la moi`la compassion!

J'arrive pas a éprouvé de la pitié pour se que la majorité des gens trouve triste. Par exemple, un bébé meurt quelque part au québec, sauvagement tué par a mère. And so what? La plupart du monde se disent: "Pauvre petit" , "C'était juste un enfant", "tout ce qui a pas eu la chance de connaitre"... Moi je dis Bullshit! Justement, parce que ce n'était qu'un bébé, il perd rien! Je ne ni pas la tristesse de la chose, mais je trouve aberrant que dans notre société, on pleur plus la mort d'un restant de feotus, que celle d'une vielle personne, qui a vécu sa vie. Cette dernière c'est attaché a des gens, avait ses p'tit plaisirs de vie, des amis, de la famille. En plus de la montagne d'expériences et de savoir accumulés. Il est certes triste pour un parent de perdre son nouveau-né, mais il est tout aussi triste pour un enfant de perdre ses parents.

Autre chose que je ne peux être compatissant pour: Les gens qui se plaignent. Tout le monde à le droit de se plaindre de temps à autre. Chacun vit un drama quotidien. Mais je ne peux me résoudre flatter dans de sens du poil, celui qui demande de l'attention en se mettant lui-même dans merde. Et j'utilise le masculin pour la forme, c'est plus simple. Je suis du partit de ceux qui disent: Si tu fais quelque chose, fais le avec passion. Ainsi, Si une personne ne vas pas bien, elle ne prétend pas le contraire, avec des message subtil pour que les gens lui demande "T'es sur que ça va?".

Alors, est-ce moi qui ne suis pas humain? Suis-je le seul a penser que si on veut évoluer dans la vie, faut pas distribuer ses émotions à gauche et à droite, mais les vivre et les comprendre?

mardi 16 mars 2010

First things must comes first.

Parce qu'on ne peut commencer que par le début: Bonjour!

Pour ceux qui le savent pas déjà, je suis un Ex-étudiant en 3D (non pas que j'aimais pas ça), et futur étudiant en travail social (Or so I hope) en arrêt d'étude temporaire. Et ce, puisque je vais surement avoir à déménager.

J'ai des intérêts, des passes-temps, des activité, mais il existe les profiles pour ça. Et Facebook merde.

Sinon j'en viens à ce pourquoi je commence ce blog. P'tête que le monsieur trouve ça, non pas plate, mais rudimentaire comme vie. P'tête que y'a juste beaucoup trop de temps libre? (Mais j'en ai rarement eu moins que ça T_T). Ou p'tête que y'a juste envie de le faire, voila tous. Donc, J'avance ceci: Je fais de ce blog, plutot qu'un pensé sporadique, une régulière menace pour la santé mentale! En un mot? J'essayerai d'écrire un article une fois semaine, minimum. Je m'engage pas à plus, sachant que j'écrirai surement pas plus.

Aussi, j'ai déjà un vieux blog, dont je ne me sert plus vraiement. c'est plus comme mon défouloir personnel. Je ne vais pas le fermé, c'est une partie de ma vie. Mais je vais peut-être y importer ici des articles de la-bas. Il sera précisé, Si un article se retrouve en doublet.

Bon, je crois que c'est pas mal tout. Je me souhaite bon succès avec les commentaires, les visites, et les lectures, Mais surtout, à ceux qui se donneront la peine de me lire, même que quelque fois, je vous dis: Merci.